María Rodríguez Álvarez, travaille comme professeure remplaçante dans le Département de Philologie Anglaise, Française et Allemande à l’Université d’Oviedo. Elle a aussi réussi le concours de l’enseignement secondaire (Matière « français »). Ses centres d’intérêt sont la littérature française contemporaine, du XIXe siècle et les rapports entre la littérature et la science et/ou d’autres disciplines artistiques.
Elle est doctorante dans le programme de « Recherches Humanistiques » à l’Université d’Oviedo. Sa thèse doctorale, dirigée par Francisco González Fernández, porte sur les différentes acceptions du mot passage appliquées à la trajectoire littéraire et d’engagement politique et social d’Annie Ernaux. Cette perspective d’analyse lui permet d’aborder des notions aussi diverses que la mémoire collective, l’architecture et la sociologie de la modernité.
Elle est aussi auteure d’un article publié dans la revue Çédille (numéro 18) intitulé « Les mécanismes du Naturalisme à l’épreuve : la télégonie dans Madeleine Férat ». Il s’agit d’un travail sur les implications génétiques, sociales et économiques de l’application de cette théorie reproductive à ce roman de Zola. Elle est également auteure d’une notice de lecture dans la revue argentine C’est-à-lire (numéro 6) dont le titre est « Vergüenza y expiación : el largo camino (de vuelta) a casa (sobre Regreso a Yvetot de Annie Ernaux) ».